Le COVID-19 n’est pas le vecteur d’une bioattaque mais un écran de camouflage cachant l’usage d’un autre vecteur inconnu, lequel ne serait pas chimique mais bien biologique.
Les thèses sur un usage éventuel du gaz Sarin sont totalement écartées par les équipes CBRN russes. Les premières conclusions de l’enquête des spécialistes russes à Bergame ont déclenché une alerte à la guerre biologique à Moscou.
Des convois militaires de lutte CBRN russes en Italie
Des scènes totalement inconcevables il y a deux mois: des convois militaires russes emportant des équipes et du matériel de lutte contre les menaces CBRN (Chimiques, Biologiques, Radiologiques et Nucléaires) sur les autoroutes italiennes en direction du Nord de la péninsule.
L’abandon de l’Italie par l’Union européenne et l’Otan a forcé le gouvernement italien à demander l’assistance de la Chine, Cuba et la Russie.
Selon SputnikNews les unités russes de défense chimique, biologique, radiologique et nucléaire (CBRN) ont apporté du matériel apte à combattre une attaque par armes biologiques, et pas seulement l’épidémie de coronavirus. Elles ont déjà commencé à l’utiliser dans les rues de Bergame, couvrant jusqu’à 1.000 voitures, 14 kilomètres de routes et 15.000 mètres carrés de surfaces de bâtiments par heure.
Les pièces mobiles de l’équipement des unités CBRN leur permettent de désinfecter de façon similaire à l’intérieur des bâtiments, y compris les hôpitaux et les morgues.
Outre l’envoi d’unités CBRN, l’armée russe a également amené des spécialistes des maladies virales, des épidémiologistes et des médecins généralistes, qui ont l’expérience de la lutte contre les épidémies dans différentes parties du monde, a déclaré le ministère de la Défense. Selon le ministère russe de la Défense, certains de ces spécialistes ont travaillé à stopper les épidémies d’anthrax et à développer un vaccin contre le virus Ebola.