Dans le Talmud, les juifs explicitent leur mépris et leur dédain pour l’humanité en général, et pour les Chrétiens en particulier. Nous en avons vu un échantillon dans 20 EXTRAITS CHOQUANTS DU TALMUD et dans Le discours de haine talmudique à la base du génocide des non-juifs.
Dans une suite d’articles, nous allons examiner plus en détail quelques écrits explicitement racistes et haineux du Talmud. Il paraît qu’en Occident, il y a des lois et des discours enflammés contre le racisme et la haine, ce qui est tout à fait louable. Sauf que le livre le plus raciste qui soit, qui prône une haine implacable envers tous ceux qui ne sont pas juifs, le Talmud, n’est interdit nulle part.
- Introduction : La Torah et le Talmud
Le judaïsme, comme les autres « religions du livre », distingue le livre sacré de ses interprétations et commentaires. Pour le judaïsme, comme pour le christianisme, un seul livre est inspiré et transmet la parole de Dieu: c’est la Bible (Ancien Testament pour le judaïsme, Ancien et Nouveau Testament pour le christianisme). Mais la Bible, comme tout texte ancien normatif, a été constamment relue et réinterprétée, et certains de ces commentaires sont devenus traditionnels et, eux aussi, normatifs pour une communauté religieuse. L’exemple le plus simple en christianisme est la littérature patristique. La Bible a donné naissance à une série de commentaires de la part des Pères grecs ou latins. Aujourd’hui, quand on commente un texte biblique, on cite encore leurs interprétations comme traditionnelles. Le Talmud, c’est cela: un corpus d’interprétations et de commentaires anciens et traditionnels du judaïsme sur la Bible, et plus précisément sur la Torah, c’est-à-dire la Pentateuque chrétienne ou les cinq premiers livres de la Bible (Gn, Ex, Lv, Nb, Dt).
Le Talmud est le deuxième livre saint du judaïsme après la Bible.
Il s’agit d’une œuvre encyclopédique dont l’élaboration a duré depuis le début de l’ère chrétienne jusqu’au Ve siècle environ. Comme toute loi écrite a besoin d’être constamment réactualisée, on dit que la Torah constitue la loi écrite, tandis que le Talmud constitue la loi orale. Et en effet, durant des siècles, ces commentaires sur la Torah écrite ont été transmis oralement. C’est assez tardivement, donc, qu’on s’est mis à écrire ces enseignements. Le Talmud se réclame de Moïse, comme la Torah. Les commentateurs juifs affirment que sur le Sinaï, Moïse reçut de Dieu la Torah écrite avec son explication orale, à savoir le Talmud. Le Talmud se présente donc comme une gigantesque table ronde, on a envie de dire un immense concile, à laquelle des centaines de sages et de disciples auraient participé au long des siècles. Malgré la grande diversité des opinions exprimées, l’ensemble donne une impression d’unité et de vie intenses.
La formation du Talmud
Le Talmud est formé de deux grands corpus anciens: d’abord la Mishna, datant des IIe et IIIe siècles, rédigée en hébreu, qui se présente comme un traité juridique, une synthèse touchant tous les domaines de la vie, divisés en six livres:
1) Zéraïm (lois sur la vie agricole et droits des pauvres) ;
2) Moéd (lois sur le sabbat et le calendrier) ;
3) Nashim (lois sur la vie conjugale et familiale) ;
4) Nezikim (droit civil et pénal, relations sociales) ;
5) Kodashim (lois relatives au culte au temple de Jérusalem) ;
6) Taharot (prescriptions relatives à la pureté). Ces enseignements de la Mishna seront par la suite discutés, remis en cause et complétés par les maîtres. Cela donnera la Gemara, terme signifiant « complément », rédigée en hébreu et en araméen.
Le Talmud se présente donc sous la forme de 63 traités, répartis le plus souvent en une vingtaine de volumes, comportant en tout autour de 6000 pages. La plupart des éditions modernes ajoute encore les commentaires de Rashi (à savoir Rabbi Shlomo Yitzhaki, 1040-1105), mais aussi de bien d’autres. La disposition d’une page du Talmud est remarquable: le texte biblique est au centre, en hébreu plus gros. Juste en dessous se trouvent la Mishna et la Gemara. Tout autour, les divers commentaires sont imprimés en caractère plus petit.
Du fait que deux centres intellectuels se sont livrés au même travail de synthèse et de commentaire, on distingue deux Talmuds: celui de Babylone et celui de Jérusalem. Le Talmud de Babylone est trois fois plus volumineux que celui de Jérusalem et jouit d’une plus grande autorité dans le judaïsme. Normalement, quand on parle du Talmud sans préciser, c’est de celui de Babylone qu’il s’agit.
Le Talmud a été traduit en anglais par le rabbin Adin Steinzalts. Celui-ci a aussi commencé une traduction française dont plusieurs volumes ont été publiés.
Il est essentiel de bien saisir la portée de ces écrits traditionnels dans le judaïsme. En effet, quand on discute avec un Juif, on pourrait penser que nous avons un fond commun, la Bible. Ce n’est certainement pas faux, mais ce n’est pas tout à fait exact… Car la Bible juive est inséparable de son interprétation traditionnelle donnée par la Mishna et le Talmud. Or, ces interprétations sont souvent loin des interprétations chrétiennes. Les deux communautés croyantes, bien qu’héritières du même livre saint, ne sont pas sur la même longueur d’onde à cause des interprétations et commentaires traditionnels de leurs livres saints.
Partie 2:
La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie

Le rabbin Joseph D. Soloveitchik est considéré comme l’un des rabbins les plus influents du XXe siècle, le « leader incontesté » du judaïsme orthodoxe et la plus haute autorité internationale en matière de halakha (loi religieuse juive).

Moed Kattan 17a: Si un Juif est tenté de faire le mal, il doit aller dans une ville où il n’est pas connu et y faire le mal.
Erubin 21b.Quiconque désobéit aux rabbins mérite la mort et sera puni en étant bouilli dans des excréments chauds en enfer.
Sanhédrin 58b.Si un païen (gentil) frappe un juif, le gentil doit être tué.
Sanhédrin 57a.Un juif n’a pas besoin de payer à un gentil (« Cuthean ») le salaire qui lui est dû pour son travail.
Baba Kamma 37b. »Si le bœuf d’un Israélite attrape un bœuf d’une Cananéenne, il n’y a pas de responsabilité; mais si un bœuf d’une Cananéenne gore un bœuf d’un Israélite, le paiement doit être intégral. »
Baba Mezia 24a.Si un juif trouve un objet perdu par un gentil (« païen »), il n’a pas à être rendu. (Affirmé également dans Baba Kamma 113b).
Sanhedrin 57a. Lorsqu’un juif assassine un gentil (« Cuthean »), il n’y aura pas de peine de mort.
Baba Kamma 113a.Les Juifs peuvent utiliser des mensonges (« subterfuges ») pour abuser un Gentil.
Yebamoth 98a.Tous les enfants gentils sont des animaux.
Sanhédrin 106a. La mère de Jésus était une putain: « Elle qui était la descendante des princes et des gouverneurs a joué la prostituée avec des charpentiers. »
Kallah 51a.
« L’Editio Princeps de l’intégralité du Code de droit talmudique, Mishneh Torah de Maïmonide regorge non seulement des préceptes les plus offensants contre tous les Gentils, mais aussi d’attaques explicites contre le christianisme et contre Jésus (au nom duquel l’auteur ajoute pieusement » Puisse le nom du méchant périr ‘).
~ Dr. Israel Shahak, Histoire juive, religion juive, p. 21.
« Le Talmud contient quelques références explicites à Jésus. Ces références ne sont certainement pas complémentaires. Il ne fait aucun doute que le récit de l’exécution de Jésus à la veille de la Pâque fait référence au Jésus chrétien. Le passage dans lequel le châtiment de Jésus en enfer est décrit semble également faire référence au Jésus chrétien. Il s’agit d’un morceau de polémique antichrétienne datant de la période postérieure à 70 CE. »~
Hyam Maccoby, Judaism on Trial, pp. 26-27.
Selon le Talmud, Jésus a été exécuté par un tribunal rabbinique approprié pour idolâtrie, incitant d’autres Juifs à l’idolâtrie et au mépris de l’autorité rabbinique.
Toutes les sources juives classiques qui mentionnent son exécution sont très heureuses d’en assumer la responsabilité; dans le récit talmudique, les Romains ne sont même pas mentionnés.
Les récits les plus populaires – qui ont néanmoins été pris très au sérieux – comme le fameux Toldot Yeshu sont encore pires, car en plus des crimes ci-dessus, ils l’accusent de sorcellerie.
Le nom même de «Jésus» était pour les Juifs un symbole de tout ce qui est abominable et cette tradition populaire persiste encore.
« La forme hébraïque du nom Jésus ~ Yeshu ~ a été interprétée comme un acronyme pour la malédiction, » que son nom et sa mémoire soient effacés « , qui est utilisé comme une forme extrême d’abus.
En fait, les juifs orthodoxes antisionistes (comme Neturey Qarta) appellent parfois Herzl «Herzl Jesus» et j’ai trouvé dans les écrits religieux sionistes des expressions telles que «Nasser Jesus» et plus récemment «Arafat Jesus».
« ~ Dr. Israel Shahak, Jewish History, Jewish Religion, p. 97-98, 118.
Source : TRUTH ABOUT THE TALMUD: RACIST, RABBINIC HATE LITERATURE
PARTIE 3-
Les non-juifs ne sont pas humains, génocides, racisme, pédophilie, zoophilie,…
A l’époque du Christ, le judaïsme était divisé en de nombreux mouvements ou sectes (terme neutre, au sens de Max Weber). Oublions les zélotes, les esséniens et d’autres encore, qui ont disparu. Trois de ces sectes sont importantes pour nous.
Primo, le judaïsme sacerdotal, celui des scribes et des sadducéens, qui, comme son nom l’indique, reposait sur un corps de prêtres, lesquels pratiquaient le sacrifice au temple de Jérusalem.
Secundo, le judaïsme pharisaïque, celui des pharisiens dont parle l’Évangile. Il était très différent du premier, puisqu’il soutenait qu’il existait une Loi orale, transmise depuis Moïse, qui l’emportait sur la Loi écrite, la Bible.
Tertio, le judaïsme apostolique, celui des apôtres qui entouraient le Christ, et qui était issu de l’enseignement de saint Jean Baptiste.
Le judaïsme sacerdotal était celui de l’Ancien Testament. Il a disparu après la destruction du temple de Jérusalem par Titus en 70 après Jésus-Christ.
Le judaïsme pharisaïque est celui qui a conservé le nom de judaïsme. C’est celui du grand-rabbin de France. C’est celui de l’État d’Israël. Le judaïsme d’aujourd’hui est celui des pharisiens dont parle l’Évangile. On l’appelle aussi judaïsme rabbinique, puisque les rabbins ont supplanté les prêtres, ou judaïsme talmudique, puisque le Talmud, censé contenir la Loi orale, est son livre sacré, qui l’emporte donc sur la Torah écrite de l’Ancien Testament ou Bible hébraïque.
Le point essentiel est que ce judaïsme rabbinique est en rupture avec le judaïsme sacerdotal de l’Ancien Testament. Il n’a plus de prêtres ni de sacrifices. Il a une Loi orale, laquelle était rejetée comme une abomination par les Sadducéens.
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LE TALMUD ATTAQUE LES CHRÉTIENS ET LES LIVRES CHRÉTIENS
Rosh Hashanah 17a. Les chrétiens (minnim) et d’autres qui rejettent le Talmud iront au diable et seront punis là pour toutes les générations.
Sanhedrin 90a. Ceux-là qui ont lu le Nouveau Testament (« les livres non canoniques ») n’auront aucune portion dans le monde a venir.
Shabbath 116a. Les juifs doivent détruire les livres des Chrétiens, c’est-à-dire le Nouveau Testament.
Dr Israel Shahak d’Université hébraïque dit que les Israéliens ont brûlé des centaines de Nouvelles Bibles de Testament dans la Palestine occupée le 23 mars 1980 ((cf. Jewish History, Jewish Religion, p. 21).
-*-*Talmud démasqué : Les enseignements rabbiniques secrets concernant les Chrétienspar le Révérend J.B. Pranaitis -*-*téléchargez: francais-http://www.codeig.net/Pranaitisfr.pdf
ENSEIGNEMENTS MALSAINS ET INSENSÉS DU TALMUD
Gittin 69a.
Pour guérir sa chair, un juif doit prendre de la poussière qui se trouve dans l’ombre d’une toilette extérieure, mélanger avec du miel et le manger.
Shabbath 41a.
La loi régissant la règle sur la façon d’uriner d’une manière sainte est donnée.
Yebamoth 63a. (zoophilie)
Déclare qu’Adam a eu des rapports sexuels avec tous les animaux du jardin d’Eden.
Yebamoth 63a.
Déclare que l’agriculture est la plus minable des professions.
Sanhédrin 55b. (pédophilie)
Un juif peut épouser une fille de trois ans (plus précisément, trois ans et un jour).
Sanhédrin 54b. (pédophilie)
Un juif peut avoir des relations sexuelles avec un enfant tant que l’enfant a moins de neuf ans.
Kethuboth 11b. (pédophilie)
« Quand un homme adulte a des relations sexuelles avec une petite fille, ce n’est rien. »
Yebamoth 59b. (zoophilie)
Une femme qui a eu des rapports sexuels avec une bête peut épouser un prêtre juif.
Une femme qui a des relations sexuelles avec un démon [1] peut également épouser un prêtre juif.
Abodah Zarah 17a.
Déclare qu’il n’y a pas de pute dans le monde avec laquelle le sage talmudique Rabbi Eléazar n’a pas eu de relations sexuelles.
Sur l’une de ses ébats de bordel, le rabbin Eleazar a appris qu’il y avait une prostituée en particulier résidant dans un bordel près de la mer, qui recevrait un sac d’argent pour ses services.
Il a pris un sac d’argent et est allé vers elle, traversant sept rivières pour ce faire.
Pendant leur rapport sexuel, la prostituée a pété.
Après cela, la putain a dit au rabbin Eleazar: « Tout comme ce gaz ne reviendra jamais dans mon anus, le rabbin Eleazar n’atteindra jamais le ciel. »
Hagigah 27a.
Déclare qu’aucun rabbin n’ira jamais en enfer.
Baba Mezia 59b.
Un rabbin débat avec Dieu et le bat.
Dieu admet que le rabbin a gagné le débat.
Les rabbins ont enseigné: « En venant d’une toilette privée (toilettes extérieures), un homme ne devrait pas avoir de rapports sexuels avant d’avoir attendu assez longtemps pour marcher un demi-mile, parce que le démon de la toilette est avec lui pendant ce temps; s’il le fait, ses enfants seront épileptiques. »
Pesahim 111a.
Il est interdit aux chiens, aux femmes ou aux palmiers de passer entre deux hommes, et aucun autre ne peut marcher entre les chiens, les femmes ou les palmiers.
Des dangers particuliers sont impliqués si les femmes ont leurs règles ou s’assoient à un carrefour.
Menahoth 43b-44a.
Un juif est obligé de faire chaque jour la prière suivante: Merci mon Dieu de ne pas faire de moi un Gentil, une femme ou un esclave.
BOBARDS D’UN HOLOCAUSTE ROMAIN


-*-*Nous examinerons maintenant le commentateur post-Talmudic Rambam (Moses Maimonides). Ce « sage » révéré a enseigné que les Chrétiens devraient être exterminés. Il a la plus haute stature dans le Judaïsme :
« Moses Maimonides est considéré le plus grand codificateur et philosophe dans l’histoire juive. Il est considéré comme souvent affectueusement le Rambam, après les initiales de son nom et titre, Rabenu Moshe Ben Maimon, « Notre Rabbin, le fils de Moses de Maimon. » [Maimonides’ Principles, edited by Aryeh Kaplan, Union of Orthodox Jewish Congregations of America,, p. 3].
Voici que Maimonides (Rambam) enseignait concernant l’épargne de vie de gens, surtout concernant l’épargne des vies de gentils et de Chrétiens, ou même les Juifs qui ont osé nier l’ « inspiration divine » du Talmud :
Maimonides, Mishnah Torah, (Moznaim Publishing Corporation, Brooklyn, New York, 1990, Chapter 10, English Translation), p. 184 : « en conséquence, si nous voyons un idolâtre (gentil) être emporté ou noyé dans le fleuve, nous ne devrions pas l’aider. Si nous voyons que sa vie est en danger, nous ne devrions pas le sauver. » Le texte hébraïque de Feldheim ‘édition de 1981 Mishnah Torah l’expose aussi.
Immédiatement après l’avertissement de Maimonides que c’est un devoir pour les Juifs pour ne pas sauver de noyade ou un gentil périssant, il nous informe du devoir Talmudic de Juifs vers les Chrétiens et aussi vers les Juifs qui nient le Talmud. Maimonides, Mishnah Torah, (le Chapitre 10), p. 184 :
« C’est un mitzvah [le devoir religieux], pourtant, éradiquer des traîtres juifs, minnim et apikorsim et les faire descendre à la mine de destruction, puisqu’ils provoquent la difficulté aux Juifs et influencent les gens loin de Dieu, aussi bien que Jésus de Nazareth et ses étudiants et Tzadok, Baithos et leurs étudiants. que le nom du méchant périsse. «
Le commentaire de l’éditeur juif qui accompagne la déclaration précédente de Maimonides déclare que Jésus était un exemple d’une min (pluriel : minnim).
Le commentaire déclare aussi que les étudiants de Tzadok ont été définis comme ces Juifs qui nient la vérité du Talmud et qui soutiennent seulement la loi écrite (c’est-à-dire l’Ancien testament).
Selon les Principes de Maimonides, p. 5, Maimonides « a passé douze ans en extrayant chaque décision et loi du Talmud et en les arrangeant tous dans 14 volumes systématiques. Le travail a été finalement accompli en1180 et a été appelé Mishnah Torah, ou « le Code du Torah. »
Maimonides a enseigné dans une autre partie du Mishnah Torah que les gentils ne sont pas humains : « l’homme seul et pas les vaisseaux, peut contracter la malpropreté par la voiture…. Le cadavre d’un gentil, pourtant, ne transmet pas de malpropreté en ombrageant. … un gentil ne contracte pas de malpropreté de cadavre; et si un gentil touche, porte, ou ombrage un cadavre il est comme celui qui ne l’a pas touché.
« À quoi y ressemble ? Il ressemble à une bête qui touche un corps ou l’ombrage. Et cela n’applique pas seulement la malpropreté du cadavre, mais à autre gendre de malpropreté : ni les gentils ni le bétail ne sont susceptibles à n’importe quelle malpropreté. « ((The Code of Maimonides, vol. 10, translated by Herbert Danby, Yale University Press, New Haven, 1954, pp. 8-9).).
Maimonides, Mishneh Torah, Hilchot Rotze’ach 2:11 : « un Juif qui a tué un gentil vertueux n’est pas exécuté dans une cour de justice. Il dit dans l’Exode 21:14, Mais si quelqu’un agit méchamment contre son prochain, en employant la ruse pour le tuer, tu l’arracheras même de mon autel, pour le faire mourir..’ Mais un gentil n’est pas considéré un homme et même plus égalisé, un Juif n’est pas exécuté pour tuer un pêcheur gentil. «
-*-Le Talmud (c’est-à-dire, le Talmud babylonien) le texte de Sanhedrin 37a restreint le devoir de sauver la vie et de ne sauver seulement que des vies juives.
Le livre sur la censure hébraïque, écrite par les Juifs eux-mêmes (Hesronot Ha-shas), note que quelques textes de Talmud utilisent l’expression universaliste :
« »Quiconque détruit la vie d’un seul être… il est comme s’il avait détruit un monde entier; et qui préserve la vie d’un seul être humain simple … il est comme s’il avait préservé un monde entier. «
Pourtant, Hesronot Ha-shas montre que ceux-ci ne sont pas les mots authentiques de l’original du Talmud.
En d’autres termes, l’interprétation universaliste précédente n’est pas le texte authentique du Talmud et ainsi, par exemple, cette version universaliste que Steven Spielberg dans son film réputé, la Liste de Schindler attribuée au Talmud (et qui est devenu la devise du film sur les posters et dans les publicités), est un canular et constitue la propagande a eu l’intention de donner un lustre humaniste à un Talmud qui est, dans son essence, raciste et une littérature de la haine chauvine.
Dans le texte Talmud authentique, original il déclare que « celui préserve une seule âme d’Israël, c’est comme s’il avait préservé un monde entier » (l’accentuation fournie). Le texte du Talmud authentique autorise seulement l’épargne de vies juives.
NOTES
[1] Les premières mentions connues de telles alliances se trouvent dans les textes bibliques. L’une des descriptions les plus convaincantes du sexe démoniaque est située dans la Genèse 6:4 de la Bible du roi Jacques : « Les géants étaient sur la terre en ce temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. »

de Francisco Goya
Dans la nouvelle version internationale, les « géants » sont des « nephilim », généralement considérés comme les descendants hybrides d’une union entre les anges et les êtres humains. Ce passage est controversé. Beaucoup de lecteurs de la Bible démentent la possibilité que la Genèse 6:4 décrit une baise surnaturelle, mettant en doute l’idée que les Saintes Écritures se réfèrent au sexe démoniaque (le « fils de Dieu » se réfère simplement à des êtres supérieurs, insistent-ils). Mais tout de même : il va sans dire qu’autant de gens ne se disputeraient pas l’interprétation de ce passage s’il ne semblait pas concerner le sexe démoniaque.
Les accusations de sexe paranormal ont d’autant plus proliféré à l’époque de la chasse aux sorcières menée par les chrétiens, qui « a atteint son macabre sommet entre le quatorzième et le dix-septième siècle », comme le note l’historien David M. Friedman dans A Cultural History of the Penis. De fait, l’un des crimes les plus communs « commis » par les femmes accusées de sorcellerie était la fornication avec le diable.
Source : TRUTH ABOUT THE TALMUD: RACIST, RABBINIC HATE LITERATURE
Sources:Partie 1
Hervé Tremblay, OP
Professeur au Collège dominicain de philosophie et de théologie (Ottawa)